Lors de la convention et du grand événement en Août dernier à Lyon, (qui rassemble plus de 800 conseillères ), nous avons toutes été remontées à bloc par une conférence de très grand intérêt :
- Philippe Gabillier, professeur en comportement organisationnel à ESCP, et vice-président de la Ligue des optimistes de France,
- réputé pour son ELoge de l'optimisme et son travail sur le facteur chance ...
- les bonnes rencontres
- les bons territoires dans lesquels nous choissons d'évoluer (business, culture, relations)
- l'écoute des bonnes demandes
- la vigilance, la curiosité pour sortir de la routine et des fonctionnements liés à notre éducation
- la magie du réseau, se constituer un réseau et créer du lien
- accepter que la chance ait ses revers et être conscient que ça ne fonctionne pas toujours comme on l'espère. La malchance permet de comprendre l'échec pour rebondir
- anticiper et être soi-même créateur d'opportunités pour les autres
- ...
L’idée essentielle développée par Philippe Gabilliet est simple :
- la chance n’est pas une sorte de don magique réservé à un petit nombre mais bien une discipline de vie que chacun peut décider d’adopter
- une façon de voir le monde et d’entrer en relation avec les autres
- un art de prendre ses décisions face aux aléas de l’existence
- un moyen enfin de recycler les nombreux moments de malchance que connaît toute vie humaine.
En gros, pour pouvoir dire "j'ai de la chance" il faut savoir faire "j'aide la chance" :
- la chance est une compétence qui se travaille !
Et si le fait que certains semblent rencontrer davantage d’occasions positives que les autres, était la preuve d’un véritable savoir-faire, d’une authentique compétence de vie ?
Et si l’on pouvait à tout âge réapprendre à avoir de la chance, c’est-à-dire à provoquer autour de soi et de ses proches l’apparition régulière de circonstances favorables inattendues ?
Genre, lorsque vous commencez une nouvelle activité, comme par exemple (au hasard), conseillère Demarle, il y a à peu près 2 attitudes :
- l'attitude gagnante, c'est d'écouter, apprendre, observer, respecter la marque qu'on représente, et profiter de l'expérience de la méthode développée par Demarle, transmise par les marraines, les anciennes, ...
- et puis y a aussi l'attitude qui consiste à dire : je suis indépendante, je fais ce que je veux, je n'écoute rien, je n'observe rien, je n'apprends rien des autres, car de toutes façons, je préfère faire à ma manière, je respecte même pas la marque, je m'en fous, le seul truc qui m'intéresse, c'est de m'amuser, ... j'ai même pas 10 ans, j'ai 4 ans et demi, je joue à la dinette avec mes copines, je fais comme je veux, ... de toutes façons, je vais gagner plein de sous, puisqu'on m'a dit que ça marche ! .... Et puis, si ça marche pas, ce sera de la faute des autres, ... j'adore me plaindre, je me place toujours en victime, je me fais porter par les autres, et j'assume rien, c'est tellement mieux de geindre "j'ai pas de chance ..." ...
Bien sûr, je vous laisse réfléchir, pour savoir laquelle des 2 va vraiment progresser dans sa vie, avoir de la chance, créer une spirale positive ...
Et puis l'autre, toujours celle qui se plaint, qui n'a que des mauvaises nouvelles, des malheurs, des difficultés, ne termine jamais ce qu'elle entreprend, ... attend toujours tout des autres, n'assume pas ses choix, ses comportements ... viendra pleurer dans quelques mois, dans quelques semaines, dans quelques jours, dira que c'est nul, que c'est de la faute des autres, ... qu'elle a vraiment pas de chance ....
Alors pour commencer à aider la chance, réfléchissons, respirons, ... lisons :
- éloge de la chance ou l'art de prendre sa vie en mains
- et cette semaine, si tu veux avoir de la chance, touche le pompom d'un marin à l'Armada ! (photo
#jdcjdr
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