Cette semaine, Stella de La Rhune est abandonnée par son Porte-Plumàdélices!
car Hélène Frébourg part à Paris, ... carrément,
pour une formation chez Benchmark,
genre Ecrire sur le net avec Pascal Maupas d'Hypertexte
genre Utiliser les nouveaux leviers d'influence, avec Stéphane Allard, Via-Nova Spheeris,
& patati...
Genre graines pour l'avenir, puisqu'elle vous l'a dit début septembre,
elle compte bien reprendre son activité de Consultante
tout en intégrant sa maladie chronique à la con, qui l'empêche de courir partout, comme avant!
...
alors on dirait qu'elle a pas trouvé mieux comme solution
... pour vivre toute la journée, assise avec son iMac!
& continuer à faire des Relations Publiques ... façon Interactives!!!!
Moi Stella, je sens que je vais pas tarder à être jalouse,
car j'ai entendu dire déjà ... qu'elle voulait écrire des blogs & sites & patati
pour d'autres!
Alors figurez-vous que pour m'occuper cette semaine
pendant que je suis abandonnée,
elle m'a collé une dictée gourmande à faire en auto-dictée.
Vous voyez genre, je me régale toute seule de mots gourmands,
alors ... vous la faites avec moi la dictée pour pas me laisser toute seule?!
C'est la dictée qui a été dictée
lors du Salon du Livre Gourmand de Périgueux en Novembre 2006.
A Périgueux, le pays de Darcos, le plus grand instituteur de France... ya pas interêt à "fer des photte"...!
(ici avec Marx Mon Chouchou!)
"Comme lors de ses éditions précédentes, le Salon international du livre gourmand organise une dictée gourmande à l’intention de tous ceux qui, non contents d’être gourmands, aiment aussi à se frotter aux difficultés et périls de la langue française.
Après le « frichti oriental » de Xavier Darcos en 2000, le « cheddar caduc » d’Hervé Brunaux en 2002 et les "Propos de table" de Jean-Louis Glénisson en 2004,
les amateurs devront affronter les pièges tendus par Chantal Tanet et Tristan Hordé,
lexicographes collaborant notamment au Robert et auteurs de divers ouvrages (dictionnaire toponymique du Périgord, Les mots de la gourmandise, entre autres...)"...
"Pour paraphraser Massillon, notre semaine « n’a été qu’un travail, une occupation continuelle »
pour aligner quelques phrases destinées à provoquer le plus de fautes possible.
Nous avons cherché des mots frappés d’obsolescence, accumulé les murs décrépis, les portes-fenêtres et les œufs éclos, des chausse-trappes malaisées à repérer,
telles que : « ils se sont battus avec les demi-solde qu’ils ont croisés »,
et Littré nous a appris que les chasseurs pratiquaient le houl’eau.
Voilà bien des affiquets !
Mais comment introduire la cuisine portugaise ?
Sauf à proposer de subtils acrostiches ou des anagrammes compliquées à partir des noms de mets pris dans la langue de Pessoa.
On imagine que les serviettes de coton brodées et les torchons de coton écru sont les mêmes qu’ici
et que l’on se régale aussi de tomates ponceau, de jus de fruits ou de jus de betterave,
que l’on se délecte de confiture de cynorhodon,
que l’on rejette les fruits blets ou gâtés par une ecchymose.
À vrai dire si, grâce à sa maîtrise de l’histiodromie,
le Portugal a introduit en Europe la cacahuète et les achards (pas les piccalillis),
après la fâcherie des puissances chtoniennes qui détruisit Lisbonne,
plus rien.
L’un des légumes les plus diversement cuisinés au Portugal, le chou, a évidemment ses répondants en France
où l’on prépare la bardatte et le brabouffat.
De même notre gangasse a ses équivalents au Portugal où la morue est reine,
mais nous ne connaissons pas le flétan fumé et la liqueur de griottes.
Abrégeons et laissons les comparaisons :
nous avons bourriol et mesclun, biarrote et oyonnade,
et le Portugal ses merveilles régionales, à base par exemple de pois chiches ou de serran."
En 1998, c'était la balade sans sushi
... j'ai bien peur qu'elle me la colle si je suis pas sage!!!!
... vuk elle adore Marx le japonais du Médoc, & la soupe Miso & tutti quanti de sushi, sashimi, patati!!!
En attendant, cette année impaire = pas de Périgueux en Novembre,
mais nous irons à Angoulême pour Les Gastronomades,
le We du 23/25 Novembre.
Commentaires